Anne-Catherine Lyon

  • Conseillère d’Etat
  • Cheffe du Département de la formation, de la jeunesse et de la culture (DFJC)
  • Née en 1963

Un message pour résumer ta candidature?

Plus je m’engage en politique, plus je découvre des raisons de m’engager. La connaissance toujours plus fine de notre société et de ses enjeux que me permet d’avoir mon engagement politique augmente chaque jour mon envie, mon besoin de me battre pour plus de justice et d’équité.

Pourquoi t’engages-tu en politique?

Sans solidarité, aucune société n’est viable. C’est chez moi un élan vital que d’essayer constamment de chercher les solutions qui permettront à notre communauté cantonale de se développer harmonieusement sans que quiconque soit mis de côté. Donner à chacun la possibilité de réaliser tout son potentiel est un devoir pour toutes les personnalités politiques.

Quels sont les domaines ou les projets qui te tiennent le plus à cœur?

L’égalité des chances en matière de formation est une priorité pour moi. Dans le domaine de la formation professionnelle cette valeur se concrétise avec ma volonté de donner la possibilité à chaque jeune en fin de scolarité de trouver une place d’apprentissage. Avoir pu doubler les sommes allouées aux bourses d’études relève de la même intention. Par ailleurs, en matière culturelle, il s’agit d’accroître les montants consacrés à la création ; lors de cette dernière législature, j’ai pu augmenter ces sommes de 58%. Il faut poursuivre sur cette voie.

Qu’est-ce qui te plait particulièrement à Lausanne?

J’ai avec la ville de mon enfance un lien profond. Lausanne, c’est une ville à taille humaine où règne une forte cohésion sociale. On s’y enrichit grâce à la vie culturelle et intellectuelle, mais on y trouve aussi des lieux apaisants. Et puis, il y a la présence magique du lac.

As-tu une pièce de théâtre, un film, un livre, un disque, une exposition (ou autre chose) à recommander?

Lettre au père de Franz Kafka au Théâtre de Vidy, avec Jean-Quentin Châtelain : époustouflant.