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Proposer des activités en soirée aux ado-
lescent-e-s :
l’ouverture des salles de
gymnastiques des établissements scolaires
doit se poursuivre et se généraliser à tous les
quartiers. Cette offre qui a trouvé son public
doit se doubler de propositions attrayantes
pour les adolescent-e-s, y compris au centre-
ville, en travaillant par exemple avec le réseau
de laFondationpour l’animationsocioculturelle
(FASL ).
Présenter Lausanne dès le premier regard
comme une ville de sport et de culture :
au
lieu de procéder au cas par cas – comme pour
les arrêts demétroRiponne -MauriceBéjart ou
Ouchy-Olympique–, il s’agitdepenseretd’initier
de manière globale l’inscription des activités,
des personnalités et des histoires sportives
et culturelles dans les noms de lieux et dans la
signalétiqueurbaine.
Promouvoir le sport et la culture dès le plus
jeune âge :
dans le cadre de la prise en charge
parascolairedes enfants, ladécouvertede sports
moins connus et moins médiatisés (tir à l’arc,
escrime, etc.) et de l’offre culturelle de laville doit
être encouragée. Pour cela il est nécessaire de
travailler de concert avec tous les acteurs (clubs,
associations, institutions, fédérations sportives
internationales)afindedévelopperunprogramme
ambitieux digne d’une capitale olympique et
culturelle.
PARLADÉCOUVERTE
Ouvrir lacultureàdenouveauxpublics :
l’accès
aux arts doit être renforcé et promupour toucher
denouveauxvisiteurset spectateurs. Lapolitique
de billets à prix réduits pour les institutions
lausannoises doit être maintenue et étendue là
oùcelaest nécessaire. Cet accèspeut également
être facilité par des visites guidées, des ateliers,
des rencontres-discussions avec les artistes et
autresactionsdemédiation.
PARL’OUVERTURE
